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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 13:35

Déménagement du club de paintball de Gravelines

 

   « "Et nous ne risquons pas de déranger quelqu'un..."  »

   La négation de quelqu’un est en principe personne. Nous ne pouvons déranger personne. Pour conserver le début de la phrase, il vaudrait peut-être mieux dire : Nous ne risquons pas de déranger qui que ce soit.

 

   « "Ce qu'il y a de bien dans une association telle que la nôtre, c'est qu'à peu près tous les corps de métiers sont représentés. Nous avons des peintres, des plaquistes, des électriciens, des spécialistes de l'aménagement des espaces verts, etc. C'est très utile pour les travaux. Ici, il y a quelqu'un qui passe tous les jours." »

   C’est encore pour quelqu’un ! Il s’agirait peut-être de balayer cette ambiguïté : la dernière phrase, isolée, pourrait laisser entendre qu’une même personne passe tous les jours. Il suffirait peut-être de placer « tous les jours » en début de phrase ? Ici tous les jours il y a quelqu’un qui passe. Mais quelqu’un a aussi un emploi partitif, qui empêche l’ambiguïté : Tous les jours il y a quelqu’un d’entre nous qui passe ici.

 

   Pour en finir avec la page 2, une redondance : « Les nouvelles possibilités offertes par ces nouveaux terrains devraient également permettre au club, qui compte une trentaine de membres, de grandir encore un peu plus. »

   « Plus », le dernier mot, est superfétatoire. Permettre au club de grandir encore un peu.

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