« Et pour agrémenter les dégustations de vins, et d’associer les découvertes à des mets appropriés, les fromagers seront cette année encore plus mis en valeur. »
Alors, qu’est-ce que je vais encore trouver à redire, aujourd’hui ?
Je ne comprends pas ce qui peut motiver ce « d’ », – ni le problème que poserait sa disparition…
Quant au « plus », avouons qu’il est maladroit. Davantage aurait été plus naturel, mieux aurait été plus chic !
Pour en finir avec la page 2 : « Les dégustations sont gratuites et les ventes à emporter ou sur commande. » On comprend bien que pour éviter de répéter « sont », le verbe être est sous-entendu dans la deuxième partie de la phrase. Las ! Cela n’est correct que si l’attribut est ici et là de la même nature. Par exemple, deux adjectifs : les dégustations sont gratuites et les ventes nombreuses. Ou deux noms : les dégustations sont un plaisir, et les ventes une corvée.
Sans compter que "les ventes sont à emporter", ou même "les ventes sont sur commande", ça n’est pas top, comme construction… Les dégustations sont gratuites, et les ventes se font sur place ou sur commande.