Don de 1,5 million d’euros à la S.P.A. de Dunkerque
« "Vous ne pouvez imaginer combien elles m’apportent un réconfort extraordinaire." Son idéal, on pourrait l’imaginer à la campagne, entourée de chiens et chats en liberté. »
« Combien » est en incompatibilité avec « un réconfort ». On devra choisir entre Combien elles m’apportent de réconfort, et par exemple : à quel point (il est vrai qu’) elles m’apportent un (du) réconfort. • Dans la deuxième phrase, c’est la construction qui est fautive ; ainsi construit, c’est avec « idéal » que devrait s’accorder « entourée ». Il faut tourner autrement, de façon à avoir d’abord un pronom désignant la bienfaitrice, avec quoi accorder « entourée ». Dans son idéal, on l’imagine à la campagne, entourée de… (Où « l’ » peut désigner déjà la donatrice, et non son idéal.)
« Une grande étape pour elle. Le point final de deux ans de démarches. » C’est la préposition à qui était attendue là. Un point final à deux ans de démarches.
Pour en finir avec la page 2, une question de genre, et de ponctuation : « Dans sa cuisine, deux cages, l’une pour ses inséparables. L’autre pour son calopsitte. » Calopsitte est féminin comme perruche. • Virgule à la place du point. Autre possibilité : point ou deux-points après « cages », et virgule (ou point) à la place du point.
Deux cages : l’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.
Deux cages, l’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.
Deux cages. L’une pour ses inséparables ; l’autre pour sa calopsitte.
Deux cages. L’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.
Deux cages. L’une pour ses inséparables. L’autre pour sa calopsitte.