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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 14:44

   « Dans tous les esprits : la prégnance sur le littoral, le Dunkerquois en particulier, de la dépendance des entreprises sous-traitantes face aux grands donneurs d’ordres. »

    Le problème, c’est que le nom dépendance se construit avec la préposition de (et non la locution face à). Mais il serait naturellement maladroit de répéter de (ou des) : *la prégnance de la dépendance des entreprises des donneurs d’ordres. Il nous faut tourner autrement. Dans tous les esprits, il est d’une importance cruciale que les entreprises sous-traitantes sont sous la dépendance des donneurs d’ordres.

 

  « A demi-mot, ils se demandent où ils recaseront leur personnel, si les donneurs d’ordre reprennent à leur compte des activités qu’ils avaient jusqu’alors externalisées. »

   • L’accent sur les majuscules, quand il s’agit de mots grammaticaux, aide à la lecture et à la compréhension. À (Taper : Alt + 128.)

   • Dire à demi-mot (au singulier, contrairement à : à mots couverts) signifie : "faire comprendre sans tout dire ; faire comprendre aussi par sous-entendu".

   Le verbe pronominal « se demandent » n’a pas ici un sens réciproque (ils se demanderaient les uns aux autres, entre eux), mais un sens réfléchi (chacun se demande à lui-même). C’est se poser une question en pensée, s’interroger soi-même.

   On comprend dès lors que "à demi-mot" est en contradiction avec "se demander". (Est-ce qu'ils hésiteraient à s'avouer à eux-mêmes leurs propres pensées ?) Disons donc plutôt :
   À demi-mot ils ont laissé paraître leur inquiétude quant au devenir du personnel…
À demi-mot ils ont avoué ne pas savoir où replacer le personnel.

   • Enfin : des donneurs d’ordres.

 

   Pour en finir avec la page 2, cet emploi énigmatique du verbe succéder dans la bouche de Michel Delebarre (notre illustration) : « "La loi fait succéder le conseil de développement du grand port maritime." »  Faut-il comprendre par succéder : se renouveler ?

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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 10:05

  « "Maintenant, il faudra quand même s’attacher à regarder les conditions de reprise annoncées, si les conditions sont bonnes et de discuter de l’indemnisation". »

 

   Voilà une énumération de bric et de broc ! On ne sait plus ce que complète la proposition interrogative indirecte « si les conditions… », ni le groupe infinitif prépositionnel « de dis-cuter… »

   Pour « si les conditions sont bonnes », on n’a pourtant guère le choix : ce doit être « regarder » : regarder si les conditions sont bonnes. Mais dans ce cas, il faudrait que le groupe qui suit, puisqu’il lui est coordonné, soit aussi complément de ce verbe : *regarder de discuter de l’indemnisation ? Non, il y a pataquès. Le seul verbe qu’on sent "mis en facteur" avec les trois groupes, c’est « faudra ». Je propose donc cette énumération de groupes infinitifs non prépositionnels : Il faudra s’at-tacher à regarder les conditions de reprise annoncées, voir si elles sont bonnes, et discuter de l’indemnisation.

 

   La question du nombre (singulier, pluriel) se pose dans ces trois citations. Sachons placer les s ! « […] Qui ont nécessité quelques temps d’adaptation », « À force de commission de discipline », « "C’est un milliard d’euros de bénéfice" ». Il aurait sans doute été plus naturel d’écrire : un temps d’adaptation, à force de commissions, un milliard de bénéfices.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « "Nous démarrons la commercialisation sur d’autres pays, européens comme la Suisse, ou l’Amérique latine avec le Pérou depuis janvier. » La virgule placée entre « pays » et « européens » nous ferait bientôt croire que le Pérou est entré dans l’Europe le mois dernier ! La commercialisation dans d’autres pays européens comme la Suisse, et en Amérique latine : au Pérou.

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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 17:35

  « Dans la population, la consternation se dispute à la colère. D’autant que les derniers chiffres de la délinquance sur Calais tendaient vers une baisse […] »

    Il s’agit sans doute d’une confusion avec l’expression "le disputer à quelqu’un, à quelque chose". Le disputer à quelqu’un, quelque chose, c’est prétendre l’égaler, chercher à avoir le dessus, rivaliser. J’ai trouvé cet exemple : « Une voix où le mépris le disputait à l'arrogance » (Courteline, Gend. sans pitié, 1899, 1, p. 149). Il s’agit d’employer le pronom neutre le, parfois qualifié dans ce cas d’"indéterminé". La consternation le dispute à la colère.

   D’autre part, "d’autant que" est la forme abrégée, familière, pour ne pas dire désinvolte – qu’on évitera donc à l’écrit – de : d’autant plus que.

   La consternation le dispute à la colère. D’autant plus que les derniers chiffres…

 

    « Un homme […] a été victime de plusieurs coups de couteau […] Un l’a atteint au niveau de l’épaule. »  Dans ce cas, le pronom un (ou : l’un) ne s’emploie qu’avec un complément : un (l’un) des coups, un (l’un) d’eux… Un d’eux l’a atteint à l’épaule. (Préférons un à l’un dans cette phrase où la lettre L fait déjà allitération.)

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Le trafic d’Eurotunnel entre la France et l’Angleterre pourrait reprendre de façon normale à partir d’aujourd’hui. »  Le trafic sera normal à partir d’aujourd’hui, ou : il reprendra de façon normale aujourd’hui. Le fait de reprendre est ponctuel.

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 12:13

  […] Poursuit le maire de Gravelines qui n’est pas sans ignorer que la présence de deux clubs de Pro A à moins de 90 kilomètres génère une rivalité exacerbée. »

    S’il n’est pas sans ignorer, il sait, ou il ne sait pas ? – Il ne sait pas ! En considérant qu’ignorer, c’est ne pas savoir, on a trois négations de suite :  « n’… pas », ‚ « sans », ƒ « ignorer » = "ne pas savoir". Or, comme en maths, moins par moins par moins, ça fait moins. On attendait ici : il n’est pas sans savoir. (Seulement deux négations : moins par moins, ça fait plus !)

 

  « Bertrand Ringot, ne voulant surtout pas être le maire qui aura laissé le BCM quitter son fief historique […] » Comme le contexte fait plutôt l’hypothèse que le BCM ne quittera pas son fief, il est un peu gênant de le dire à l’indicatif, mode qui situe le fait à un moment déterminé de la réalité. En plus, le futur antérieur, forme composée, nous fait considérer l’action comme accomplie. Il vaut donc sans doute mieux préférer : Ne voulant pas être le maire qui laisserait le BCM quitter son fief.

 

  « "Si on n’a pas 10 000 places, on est morts", signale Hervé Beddeleem. Il a loin d’avoir tort. »   L’attribut de on s’accorde en effet en genre et en nombre (« morts ») [ce qui n’est pas logique : le verbe est au singulier (« est »)]. Cet accord est cependant familier (mais pas de problème ici : on rapporte du langage parlé) ; à l’écrit on préférera : nous sommes morts.

   Par contre, construire loin avec être, et non avoir : il est loin d’avoir tort.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Les problèmes de parking et d’accès qui collent Sportica comme de mauvaises verrues. » On colle quelque chose à quelque chose. Dans la phrase, les « problèmes » sont ce qu’on colle, et « Sportica » ce à quoi on colle. Les problèmes qui collent à Sportica comme de mauvaises verrues. (Si on tient au pléonasme « mauvaises verrues ».)

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7 février 2009 6 07 /02 /février /2009 16:38

  « La durée de traversée avoisinerait les 1 h 45 minutes. Deux allers-retours sont prévus par jour. »

    Le déterminant pluriel devant « 1 h 45 minutes » est fautif. Il manque un quart d’heure pour qu’on puisse l’employer : elle avoisinerait les deux heures. Reconnaissons qu’en plus d’être fautif, cet article est inutile(1): la durée de la traversée avoisinerait 1 h 45. D’autre part, aller-retour est invariable : deux aller-retour.

 

  « Très confiant dans la réussite du projet, Frédéric Cuvillier table sur une période d’essai de trois mois, "pour voir si le projet peut-être rentable ou non". »  Tabler sur signifie : "compter sur" ; est-ce exactement le sens attendu ici ? D’autre part, peut et être sont ici des verbes à part entière, et non l’adverbe peut-être : pas de trait d’union entre eux. Enfin, « ou non », à la fin, va de soi, va sans dire : faisons-en l’économie ! Frédéric Cuvillier envisage une période d’essai de trois mois, ‘pour voir si le projet peut être rentable’.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Le projet de ligne piétonne entre Boulogne est Folkestone, il y travaille depuis quelque temps. »  La ligne ne va tout de même pas rapprocher les deux villes au point qu’on les confonde : et, et non « est » !

 

   _______________________________

 

   (1) Attention : je parle toujours de l'article les, et non de l’article de presse !

 

   Les côtes françaises vues de Folkestone.

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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 18:48

  « "J’ai constaté que les femmes avaient une vision très différente d’aborder les choses." »

    L’expression a malheureusement été reprise sous forme de titre. Il semble qu’il s’agisse d’une confusion entre l'emploi de vision et de façon. Les femmes ont une vision différente des choses, ou : elles ont une façon différente de les aborder. On peut tenter une délicate alliance des deux : Les femmes ont une vision différente des choses ; elles les abordent autrement.

 

  « Des propos abondés par Corinne Lamorlette. »  Le participe passé est mal construit. C. Lamorlette a abondé dans ce sens, mais : Ces propos ont été confirmés par elle, corroborés par ce qu'elle a dit.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « L’éclairage législatif a d’ailleurs été abordé par une (rare) femme politique, le sénateur Sylvie Desmarescaux. »  On évitera d’employer ainsi rare. Tourner autrement : il a été abordé par une des (rares) femmes politiques, le sénateur S. D.

 

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 17:43

  « Ce jeudi démarre les troisièmes rencontres de la critique et de la culture, autrement appelé Festival 2009, boulevard Sainte-Beuve »

      Il s’agit du chapeau de l’article. Deux fautes d’accord sautent aux yeux : « Démarre » a pour sujet (in-versé) « les troisièmes rencontres ». Et le participe passé « appelé », employé sans auxiliaire, s’accorde comme un adjectif avec le mot qualifié, qui est encore « rencontres ». Ce jeudi démarrent les troisièmes rencontres de la critique et de la culture, autrement appelées "Festival 2009".

 

   « "Côte, code, codex", un étrange slogan pour s’interroger sur les règles, les lois, les lignes que l’on impose, que l’on s’impose, que l’on déroge. »  Déroger est un verbe transitif indirect et non direct ; autrement dit, on ne peut pas le construire avec un C.O.D. (ici « que »), mais un C.O.I. Autrement dit encore, on ne déroge pas quelque chose, mais à quelque chose. Les lignes que l’on impose, que l’on s’impose, auxquelles on déroge.

   Notons que dans "C.O.D." et "C.O.I.", le "D" et le "I" signifient : directement du verbe au complément (sans mot entre eux) : enfreindre une loi, transgresser un règlement, ou indirectement de l’un à l’autre, c’est-à-dire par l’intermédiaire d’une préposition à ou de : déroger à un principe.

 

  « Un panorama des différents styles et formes de danse hip-hop sont abordés. »  Abus de syllepse ! On a déjà vu que celle-ci consiste à accorder selon le sens et non la grammaire : La plupart des styles seront abordés ; la majorité des gens ont voté contre. Mais cela n’est possible que si le nom singulier (sujet "grammatical") est assimilable à un déterminant, ce qui ne saurait être le cas de panorama, parce qu’il n’est pas assez fréquemment construit ainsi. Donc : Un panorama des différents styles et formes de danses est abordé, présenté…

   Accorder « danse » au pluriel (sinon, comment en avoir plusieurs styles et formes ?)

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Ce sera là une de leurs toutes premières présences en France. La veille de ce concert, ils se produiront à Damas. »  Cette prestation à Damas n’est pas située par rapport au présent (aujourd’hui, jeudi 5 février), mais par rapport à un événement lui-même futur : le jour où ils se produiront à Boulogne : il est bien dit : « la veille de ce concert ». Ce n’est donc pas le futur simple qui convient, mais le futur antérieur : Ce sera là une de leurs toutes premières présences en France. La veille de ce concert, ils se seront produits à Damas. 

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4 février 2009 3 04 /02 /février /2009 19:31

  « "Dans les dossiers urgents, il y a celle des étrangers qui tentent de passer en Grande-Bretagne depuis Calais. […] Je viendrais d’ailleurs à Calais d’ici la fin du mois avec une idée simple que d’autres ont eu avant moi : ‘étanchéiser’ notre capacité de passage en Grande-Bretagne." »

    C’est le préfet, nouvellement muté dans le département, qui parle : Pierre de Bousquet de Florian – du Pas-de-Calais, désormais. J’ai souligné dans la citation ce qui blesse notre langue, et donc moi-même.

   « Celle » ne pouvant représenter qu’un "dossier", autant dire : celui.

   « Je viendrais » devrait bien sûr être au futur. Je viendrai. Contrairement au verbe être, pêché dans l’encadré : « "Un succès médiatique dont je me serai bien passé." » Dont je me serais passé. (Il a en effet à voir avec l’affaire Clearstream.)

   « Une idée simple(1) que d’autres ont eu avant moi. » L’adjectif simpliste existe aussi, mais respectons son choix. Le pluriel « d’autres » est peut-être un pluriel "de discrétion" désignant le seul ministre Besson ? En tout cas, le participe passé eu s’accorde : une idée que d’autres ont eue.

   « Étanchéiser » n’existe pas, et pas pleinement non plus, d’ailleurs, étanchéifier. Mais après tout pourquoi pas ce néologisme : nos hardiesses d’aujourd’hui seront la langue de demain ! Dommage, sans doute, de le créer dans un emploi qui assimile des humains à, par exemple, des eaux usées… Notons que le verbe étancher, qui existe, lui, depuis trois siècles, a aussi ce sens.

   « Capacité » n’est manifestement pas le mot qui convient. Étancher, étanchéifier notre frontière.

 

  « "Je n’ai jamais travaillé au dessus de Paris." »

  « "Le taux de chômage du Pas-de-Calais est trois points en dessus de la moyenne nationale." »

   Au-dessus prend un trait d’union. Cette préposition aurait d’ailleurs pu convenir aussi dans la deuxième phrase.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Il aime les ballades en nature, musarder… »  À moins que notre préfet soit aussi chanteur féru de Moyen Âge, il doit apprécier plutôt les balades dans la nature.

 

   (1) Une idée finalement comme nous, habitants du Pas-de-Calais : « Des gens simples dans leurs façons de prendre les sujets. » (Pierre de Bousquet de Florian)

 

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3 février 2009 2 03 /02 /février /2009 10:39

  « Le Dunkerquois manquerait-il d’une culture musicale comme elle peut exister sur Boulogne-sur-Mer par exemple, avec le festival de la Côte d’Opale ? »

    C’est « elle » qui m’a meurtri le regard. Le pronom, grammaticalement, reprend « une culture musicale ». Or, ce groupe nominal ne désigne aucune culture musicale en particulier, ni, si cela se peut, la culture musicale en général. C’est comme si l’on avait dans le premier membre de la phrase : "Le Dunkerquois manquerait-il de culture musicale ?" On voit peut-être mieux, là, que le groupe nominal, qui désigne quelque chose d’hypothétique, de virtuel, de non défini, ne peut pas être repris par elle. Comment faire ? Peut-être remplacer « elle » par cela, qui représenterait "le fait qu’une culture musicale existe" ?  Ou tourner autrement : Le Dunkerquois manquerait-il d’une culture musicale, contrairement par exemple à Boulogne-sur-Mer, grâce au festival de la Côte d’Opale ?

 

  « Comment attirer l’organisation de congrès, de conférences, la venue d’artistes nationaux tout en conciliant l’accueil du carnaval… »  Il s’agit ici (dans le chapeau) de l’emploi de concilier. On concilie plusieurs choses (entre elles), ou on concilie une chose avec une autre. Si on garde la construction de la phrase, il faut choisir un autre verbe : tout en préservant, favorisant, épargnant l’accueil du carnaval. Ou bien on change la construction : tout en conciliant cela, tout en le conciliant avec l’accueil du carnaval.

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Tous les week-end sont réservés à la tradition. »  Au pluriel : des week-ends (comme, plus bas, dans l’interview de J. Dussart : « […] qui mobilise quasiment tous les week-ends »).

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2 février 2009 1 02 /02 /février /2009 18:25

  « Issu d’une famille d’agriculteur depuis 4 générations […] Et depuis, il commercialise une farine de froment type 65, issu du blé Camp Rémy, une des 300 variétés de blés sur le marché, cultivé sur une exploitation qualifiée au titre "d’agriculture raisonnée." »

 

   Pluriel, forcément, pour « agriculteur » : une famille d’agriculteurs.

   La terminaison du deuxième « issu » : il s’accorde avec « farine » : issue.

   Quant à l’accord de « cultivé », il peut se faire aussi bien au masculin qu’au féminin : avec « blé Camp Rémy » comme avec « une des variétés », qui le reprend.

   « Une exploitation qualifiée au titre "d’agriculture raisonnée" ». Là, ça ne va pas du tout. On ne peut pas employer qualifiée tout seul, puisqu’il faudrait, pour qualifier, un adjectif, et non un groupe nominal. L’expression "au titre de" ne convient pas, et le « d’ » n’a pas à être dans les guillemets.  Je pro-pose simplement : une exploitation certifiée "agriculture raisonnée", voire : pratiquant une agriculture raisonnée.

 

  « Lui voulait du goût, c’est à cette prétention qu’il a répondue en choisissant d’utiliser la farine. »  Le verbe répondre n’a pas de C.O.D. : le participe passé ne s’accorde pas, surtout pas avec « prétention », mot d’ailleurs assez bizarrement choisi, avouons-le. Il voulait du goût ; c’est pour respecter cette priorité qu’il a choisi…

 

  « Un retour au goût, un retour au blé peu traité, un grand bon en arrière, bien avant les années 70. »  Un bond dans le bon vieux temps !

 

   Pour en finir avec la page 2 : « Il offre une alternative aux pizzas fades, insipides et sans goût. »  Deux pléonasmes, puisqu’on dit trois fois la même chose : ici, fade = insipide = sans goût.

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