Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 décembre 2009 4 24 /12 /décembre /2009 09:25

Conseil municipal de Gravelines

 

   « L’opposition tance des effectifs municipaux pléthoriques et un "sous investissement" »

   Cette phrase sans point est le surtitre. C’est le verbe tancer qui a retenu mon attention : il est mal employé. On ne peut tancer que des personnes. Tancer : "réprimander quelqu’un, l’admonester, le morigéner, etc." S’agissant d’effectifs ou d’investissements, on les désapprouve, on les déplore, dénonce, condamne, conteste, etc. • Devant un nom ou un adjectif, sous s’emploie toujours avec un trait d’union. Les noms ainsi formés prennent tous la marque du pluriel, sauf ceux-ci : sous-gorge, sous-verge, sous-main, sous verre. L’opposition stigmatise des effectifs municipaux pléthoriques et un « sous-investissement ».

 

   « "Vous licenciez alors !", a-t-on entendu dans les rangs de la majorité. »  Il s’agit de l’emploi familier de alors : "par conséquent, c’est pourquoi, en conséquence de quoi". À ne pas confondre avec le sens non familier du mot : "à ce moment là". Mais dans son emploi familier le mot s’accompagne d’une virgule. Prenons justement celle qui se trouve un peu plus loin, qui n’a rien à faire en plus du point d’exclamation : « Vous licenciez, alors ! » a-t-on entendu dans les rangs de la majorité.

 

   « Ces interventions prêtaient écho à un débat, plus politicien… »  On voit ce que l’auteur veut dire : l’inverse de "faire écho" ; les interventions ne font pas écho à un débat, c’est l’inverse : le débat fait écho aux interventions. Seulement, l’expression prêter écho n’existe pas, et il est hasardeux de l’inventer. Ces interventions ont suscité un débat, ont été prolongées par un débat, ont été suivies d’un débat

 

   Pour en finir avec la page 2, encore une question de vocabulaire : « La dette communale continue de descendre. » C’est le verbe descendre qui m’insupporte. Non seulement il est impropre ici, mais encore il est ambigu : on peut aussi bien comprendre que la dette s’affaiblit, ou qu’elle s’aggrave ; qu’elle diminue, ou qu’elle augmente. La dette continue de s’alourdir.

 

   On ne m'a pas lu hier : la page était occupée par un comminiqué de la S.N.C.F., suite aux perturbations récentes. Peut-être qu'un jour ce sera un communiqué de la Mairie de Calais, suite à son inertie depuis la tombée de la neige... Mais je doute que cette fois-là je puisse faire relâche...

Partager cet article
Repost0
22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 09:57

Chantier du stade nautique du PAarc des rives de l’Aa

 

   « Un diagnostique archéologique sera mené sur 22 hectares ainsi que deux fouilles archéologiques approfondies sur environ 10 000 m2. »

   On écrit ainsi le nom : un diagnostic. (Diagnostique est le verbe) • Le 2 en exposant : m². Mais comme on parle d’hectares peu avant, et que 10 000 m2 font un hectare, autant dire : sur un hectare. • Virgule souhaitable avant « ainsi que ».

 

   « "Le chantier est en avance, ce qui ne m’étonne à moitié connaissant Eiffage […] Mais ce qui important de réaffirmer est que ce n’est pas qu’un stade nautique pour l’aviron." »  Expression incomplète de la restriction dans la première phrase : Ce qui ne m’étonne qu’à moitié. Virgule obligatoire avant « connaissant » • Charabia dans la deuxième ; confusion entre qui et qu'il. Ce qu’il est important de réaffirmer, c’est qu’il ne s’agit pas d’un stade consacré uniquement à l’aviron.

 

   « Mais le bilan à mi-parcours de la naissance du bassin permet le plus grand optimisme. »  Ça tombe mal, une faute de vocabulaire (ou de logique), justement dans cette phrase qui ne présentait pas d’erreur de syntaxe. C’est « naissance » (ce qu’on conçoit habituellement comme quelque chose de ponctuel) qui me semble mal choisi, s’agissant de « parcours » À mi-parcours de la réalisation du bassin.

 

 

   « "Il pourra s’y passer pas mal de choses… même en hiver", désignait le maire de Gravelines en observant les espaces enneigés. »  Désigner ne saurait servir de verbe introducteur de parole. Disait le maire en désignant les espaces enneigés.

 

   « Seconde partie du projet, la création du plan d’eau débutera une fois que la phase du stade nautique sera achevée et les bâtiments et structures d’accueil diverses. »  C’est à partir de « et » que notre compréhension hésite franchement. Il semblerait que les « bâtiments et structures » fassent partie de la première partie du projet ; dans ce cas, dire plutôt : Une fois que le stade nautique sera achevé, ainsi que les bâtiments et structures d’accueil.

 

   Pour en finir avec la page 2, une légende de photo en forme de soustraction approximative : « Sur les 2 237 mètres, 1 200 mètres ont été réalisés en 2009. Il en reste un peu moins à faire (1 100 m) en 2010. » Je pense que le lecteur moyen aura su déduire qu’il en reste « un peu moins », voire deviner combien…
Partager cet article
Repost0
21 décembre 2009 1 21 /12 /décembre /2009 11:37

L’avenir de la Raffinerie des Flandres

Un parc d’attractions à Gravelines

 

   « Les services […] planchaient depuis des mois sur ce qui donne, au premier regard, un schéma à l’interprétation malaisé… mais qui finalement devient riche d’enseignements quand on plonge dedans. »

    « Malaisé » s’accorde avec « interprétation » : au féminin. La construction abuse le correcteur d’orthographe de Word, qui ne semble pas gêné de l’accorder avec « schéma ». Un schéma à l’interprétation malaisée. • Je trouve la fin de la phrase peu élégante : « quand on plonge dedans » ! De plus, le verbe « devient » laisse entendre que le schéma lui-même se modifie, quand c’est plutôt la compréhension qu’on en a. Mais qui se révèle riche d’enseignements quand on s’y plonge.

 

   « Renseignement : 03 28 65 35 00. »  Le pluriel est requis : renseignements.

 

   Pour en finir avec la page 2, une phrase plutôt décousue : « L’alimentation des clients, des stations-service, continue, en puisant toujours dans les stocks du site, et pour la plus grosse partie, désormais, en provenance d’autres raffineries par mer ou pipeline. » Passe encore, pour la construction du gérondif « en puisant », complément du verbe « continue ». Mais « en provenance… » (complément du nom « alimentation » ?) ne tient pas la route. Essayons voir : L’alimentation des clients, des stations-service, se poursuit, grâce au recours aux stocks du site et à d’autres raffineries, par mer ou pipeline.

Partager cet article
Repost0
20 décembre 2009 7 20 /12 /décembre /2009 11:08

Don de 1,5 million d’euros à la S.P.A. de Dunkerque

 

   « "Vous ne pouvez imaginer combien elles m’apportent un réconfort extraordinaire." Son idéal, on pourrait l’imaginer à la campagne, entourée de chiens et chats en liberté. »

   « Combien » est en incompatibilité avec « un réconfort ». On devra choisir entre Combien elles m’apportent de réconfort, et par exemple : à quel point (il est vrai qu’) elles m’apportent un (du) réconfort. • Dans la deuxième phrase, c’est la construction qui est fautive ; ainsi construit, c’est avec « idéal » que devrait s’accorder « entourée ». Il faut tourner autrement, de façon à avoir d’abord un pronom désignant la bienfaitrice, avec quoi accorder « entourée ». Dans son idéal, on l’imagine à la campagne, entourée de… (Où « l’ » peut désigner déjà la donatrice, et non son idéal.)

 

   « Une grande étape pour elle. Le point final de deux ans de démarches. »  C’est la préposition à qui était attendue là. Un point final à deux ans de démarches.

 

   Pour en finir avec la page 2, une question de genre, et de ponctuation : « Dans sa cuisine, deux cages, l’une pour ses inséparables. L’autre pour son calopsitte. » Calopsitte est féminin comme perruche. • Virgule à la place du point. Autre possibilité : point ou deux-points après « cages », et virgule (ou point) à la place du point.

Deux cages : l’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.

Deux cages, l’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.

Deux cages. L’une pour ses inséparables ; l’autre pour sa calopsitte.

Deux cages. L’une pour ses inséparables, l’autre pour sa calopsitte.

Deux cages. L’une pour ses inséparables. L’autre pour sa calopsitte.

 

 

Partager cet article
Repost0
19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 10:31

Calais paralysée par la neige

 

   « Si le manteau blanc a ravi les plus jeunes il a pas mal ennuyé les plus anciens, les trottoirs de la ville étant rendus impraticable faute de salage. »

   Virgule nécessaire après la conjonctive (après « jeunes »). • « Praticable » étant un attribut (il est employé avec le verbe « étant rendus »), il s’accorde forcément (avec « trottoirs »). Les trottoirs étant rendus impraticables.

 

   « Pour la SNCF, ce week-end coïncidait également avec des dépats en vacances. »  Ça sent la faute de frappe d’avant bouclage, que j’ai tout le temps de corriger le lendemain. Des départs en vacances.

 

   Pour en finir avec la page 2, une légende de photo : « Bouchon mémorable hier en début de soirée à la porte de Lille. » Pas de faute ici, si ce n’est le point final, inutile après un groupe nominal (et non une phrase). C’est juste pour dire que j’y étais. (Dans le bouchon ; quand même pas sur la photo.)
Partager cet article
Repost0
18 décembre 2009 5 18 /12 /décembre /2009 23:54

ArcellorMittal à Dunkerque va-t-il licencier ?

Marché de Noël à Gravelines

 

   « "Entre les départs en retraite ou les départs volontaires, 500 salariés ont quitté, ou vont quitter l’entreprise, d’ici juin prochain." »

 

   Entre ne se construit pas avec ou. On ne saurait être entre une chose ou une autre, mais : entre une chose et une autre. Entre les départs volontaires et les départs en retraite… • La dernière virgule est des plus fâcheuses. Elle amène à penser que « l’entreprise » ne complète que le deuxième verbe quitter. Cinq cents salariés ont quitté, ou vont quitter, l’entreprise d’ici juin prochain. Là, d’accord.

 

 

 

   « Le ciel étoilé a déjà recouvert la place Charles Valentin depuis quelques jours. »  Le passé composé ne s’accommode pas du complément « depuis… » : il ne saurait exprimer une durée. Le passé composé considère l’action comme passée, révolue, dans son résultat – un résultat qui a des conséquences, qui est encore réel, au moment où on s’exprime –, mais non dans sa durée. On choisira donc entre : 1°) Le ciel a recouvert la place il y a déjà quelques jours ; et : 2°) Le ciel recouvre la place depuis déjà quelques jours. • À propos de la place : les noms des rues et des places ne prennent pas de trait d’union après le mot rue ou place, mais entre tous les éléments du nom lui-même : La place Charles-Valentin (comme il est correctement écrit dans la légende).

 

 

   Pour en finir avec la page 2, deux assez fâcheuses absences de virgules, que je rétablis en rouge : 1°) « Comme chaque année, la ville de Gravelines, en partenariat avec Unicom et l’Office de tourisme, a donc concocté un programme festif. » 2°) « La descente du beffroi par le Père Noël […] devrait de nouveau drainer des milliers de spectateurs, mais il en sera probablement de même pour la nocturne "tartiflette".
Partager cet article
Repost0
17 décembre 2009 4 17 /12 /décembre /2009 09:41

Reconstitution à Sainte-Marie-Kerque

 

   « Photo de Jonathan levée haut dans le ciel, la famille de la victime voulait montrer qu’il pense toujours à lui. »

   Le problème, dans cette légende de photo, c’est que le pronom « il » ne représente rien. Il était moins fâcheux d’employer elle (mis pour « famille »), voir ils, pour "membres de la famille", qui serait sous-entendu. Les proches de Jonathan voulaient montrer qu’ils pensent à lui.

 

   « "Quand mon fils est mort, son amie Cindy était enceinte, confie un proche. Il était tellement fier d’être papa ! Il ne l’a jamais vu naître." »  Encore un pronom (« l’ ») qui ne représente aucun mot d’abord énoncé. • La première personne (« mon ») indique que « un proche » est le père ou la mère de la victime. • « Fier d’être papa » sous-entend qu’il est papa, déjà ; or, non. Quand mon fils est mort, Cindy était enceinte, confie son père ou sa mère. Il était tellement fier à l’idée de devenir papa ! Il n’a jamais vu naître son enfant.

 

   Pour en finir avec la page 2, encore un pronom qui ne représente rien dans ce paragraphe : « Pour Antoine Deguînes, cette thèse ne tient pas. "Je n’ai jamais vu ça !, explique-t-il. Il y avait du sang partout dans la maison. Les murs sont remplis d’éclaboussures. C’est pour moi la preuve d’un véritable acharnement. D’ailleurs, nous avons préféré la renvoyer chez elle, elle n’était pas en mesure de voir ça !" » On ne peut pas savoir qui est « la » et « elle ». Remplacer « la » par un nom. • Pas de virgule en plus du point d’exclamation après la première phrase citée.

Partager cet article
Repost0
16 décembre 2009 3 16 /12 /décembre /2009 15:08

Un studio vidéo à Landrethun-le-Nord

 

   « Du petit chanteur à la croix de bois, Guy est entré à l’armée dès l’âge de 13 ans. »

   On veut peut-être dire qu’il est passé de l’un à l’autre ? De chanteur à la Croix de Bois, il est devenu militaire. Après avoir été chanteur, il est entré à l’armée. • Dès sert à situer le début d’une durée. Il a été militaire dès ses treize ans. Mais s’agissant d’un événement ponctuel (le fait d’entrer), on dira : Il est entré à (seulement) treize ans.

 

   « "C’est çà qui fait toute la différence." »  Ça ne prend jamais d’accent quand il a le sens de cela. C’est ça (cela) qui fait la différence.

 

   « "Des camions, on en a chargés !" »  Le participe passé employé avec avoir s’accorde avec le C.O.D. s’il est placé avant… et si ce C.O.D. n’est pas le pronom en ! Des camions, on en a chargé !

 

   « La complémentarité et les expériences des deux parties permettent à Captur d’ouvrir ses ailes. »  Je ne sache pas qu’on ouvre des ailes ; on les déploie. Ce verbe semble convenir dans le contexte du déploiement d’une entreprise. Cela lui permet de déployer ses ailes, ou mieux : de prendre son envol, de prendre de l’essor.

 

   « Mutti et Loulou, Didier et Dominique et Manu ont participé à la réussite. »  Ce qui ne va pas, dans l’énumération, ce sont les deux « et » consécutifs. On peut dire :

 

   A et B, C et D ont participé… (Deux duos).

   A et B, C, D et E ont participé… (Un duo + un trio).

 

   A et B, C et D, et E ont participé… (Deux duos + une personne).

 

   Pour en finir avec la page 2, Une question d’espace et de guillemets. Comparons : «Je n’avais […] différence» et : " la boîte aux questions "  C’est l’inverse qu’il faut faire : espace du côté intérieur quand ce sont les guillemets en forme de chevrons, et pas d’espace quand ce sont les petits guillemets américains. « Je n’avais […] différence » et : "la boîte à idées".

 

Partager cet article
Repost0
15 décembre 2009 2 15 /12 /décembre /2009 17:24
Delta FM et Delta TV

 

   « Une année 2010 pour conforter, avec un budget sensiblement identique, sans embauche. »

   C’est en fait la dernière phrase de l’article. Qu’en penser ? • Il manque cruellement un C.O.D. à « conforter », verbe transitif, qui ne saurait être employé ainsi sans complément. Il faut croire que c’est une bonne chose (qu’il soit transitif), puisqu’un C.O.D. faciliterait la compréhension de la phrase ! • D’autre part, on peut s’étonner de l’emploi de « sensiblement ». Sensiblement : "de façon appréciable". Je cite le Robert, qui donne cet exemple de Gide : « Votre conclusion déborde sensiblement vos prémisses. » Ainsi, on pourra parler de "hausse sensible", on pourra dire que "le budget augmente sensiblement", parce que le changement est perceptible, appréciable. Mais comment une absence de changement pourrait être perceptible, appréciable ? On évitera donc d’employer ce mot dans le sens de "à peu près". L’année 2010 devrait conforter sa situation, avec un budget à peu près identique.

 

   « Si les médias radio, et bientôt télévisé de Delta, vont séduire toujours plus loin les auditeurs […] »  La deuxième virgule est mal placée. « De Delta » complète « médias » et non pas « télévisé ». On aurait dû remarquer que « télévisé de Delta » ne veut rien dire. Mettons donc « et bientôt télévisé » entre virgules. Si les médias radio, et bientôt télévisé, de Delta vont séduire…

 

 

   Pour en finir avec la page 2, une phrase du président du groupe, la dernière de son interview, et pas la moins énigmatique. (Elle forme un paragraphe.) « "Je pense au Parc de l’Aa et à ce que nous devenions la base arrière des jeux Olympiques (sic) de Londres 2012." » Le vice de cette phrase vient de sa coordination. Coordonner un nom à une proposition ne pouvait rien apporter de bon. D’autant plus que je ne suis pas sûr que le verbe « pense » ait le même sens quand c’est « au Parc de l’Aa » et quand c’est « à ce que nous devenions… » • Si on ne veut mettre qu’une majuscule aux J.O., préférer le J à l’O.
Partager cet article
Repost0
14 décembre 2009 1 14 /12 /décembre /2009 17:21
Inondations : crues de la Liane
La "rue de la Soif" à Dunkerque

 

   « Rien de tel qu’un cas de crue grandeur nature pour en tirer des enseignements et prévoir l’avenir. »

   Évidemment !! En fait, la périssologie vient du pronom « en ». Évidemment, s’il s’agit de tirer des enseignements d’un cas de crue grandeur nature, rien de tel, en effet, qu’un cas de crue grandeur nature. Il faut donc supprimer « en » dans cette phrase. • D’autre part, est-il vraiment question de « prévoir l’avenir » ? Il s’agit quand même de simple flotte, et non de marc de café. Ce qui n’empêche pas de préparer l’avenir, de prévenir les risques d’inondation, etc.

 

   « En parallèle des réflexions autour de la rénovation du centre-ville […] »  Passe encore que les réflexions soient « autour ». Mais il n’est pas convenable de compléter parallèle avec la préposition de. En parallèle à (aux), en parallèle avec

 

   Pour en finir avec la page 2, une affirmation qu’on pourrait trouver spécieuse : « "Personne n’est à l’abri d’une catastrophe. Une crue décennale ou séculaire peut arriver à tout moment." » On a envie de dire : non, pas « à tout moment », mais seulement une fois toutes les décennies pour les unes, tous les siècles pour les autres ! Une crue décennale ou séculaire peut survenir inopinément.

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : La faute de l'édito de la maire & Nord LittÉral - La faute de la page 2 - Depuis 2008.
  • : 1 jour, 1 journal, 1 page, au moins 1 faute corrigée !
  • Contact

Légende

Les citations du journal sont copiées entre guillemets en caractères noirs et gras :

« Citation »

• Mes propos sont en gris. La correction proposée est en caractères verts et gras.

Recherche Mot Clé...

Archives